Croisements, divagations

Croisements, divagations

de Eugène Durif
mise en scène Maurice Attias

Travailler et ne pas désespérer.
Bon, eh bien voilà.
Mais c'est une brique.
Votre cœur c'est une brique.
Oui, mais il ne bat que pour vous.

Heiner Müller
La pièce raconte l'errance de trois couples. Un inventaire des états de l'amour : la guerre des hommes et des femmes, la peur d'aimer, le viol, la prostitution, les délices et les horreurs du désir comme de l'attente de l'être aimé. Murmurer, crier, se croiser, s'enlacer, se prendre, se retirer, chercher, avoir peur, aimer ou faire l'amour, au risque du désarroi, au risque du bonheur, incongru, parfois. Chercher, succomber, s'effleurer, comment je t'aime toi, comment je te prends toi, un entre-deux impossible. L'amour en transit. Surtout ne rien installer, ne rien avouer.
Maurice Attias

avec
Vincent Berger
Gaëlle Fernandez-Bravo
Philippe Dusseau
Serge Gaboriau
Nine De Montal
Agathe Rouillier

décor et costumes Muriel Delamotte
lumière Stéphane Butkovic
assistants Philippe Dusseau et Lucie Berelowitsch

production Compagnie Maurice Attias avec le soutien de la DRAC Ile-de-France

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