Alors qu’elle termine ses études de philosophie, Judith Davis rencontre comme spectatrice le collectif d’acteurs flamand tg STAN. Elle change de vie et se forme à l’école de théâtre. Elle tourne assez vite pour le cinéma avec des réalisateurs comme Sophie Laloy, Carlos Saboga, Virginie Sauveur, Gérard Mordillat, Roger Mitchell, Roberto Ando, Arnaud Desplechin... Elle collabore au théâtre avec l’artiste portugais Tiago Rodrigues et le québecois Mani Soleymanlou. Le collectif devient sa source d’inspiration principale lorsqu’elle décide d’écrire et réalisé son film, Tout ce qu’il me reste de la Révolution.