Le Nid de cendres est une tétralogie. Elle est présentée en version intégrale le week-end ou en 4 pièces autonomes les soirs de semaine.
CALENDRIER DES REPRÉSENTATIONS
• mercredi à 17h30 : Le Chant de l'Endormie – où comment, dans un royaume de conte, un roi qui voit sa reine mourir perd la raison (1h35)
• jeudi à 17h30 : Le Chant des cendres – où comment, dans les cendres de l’Occident, une troupe de comédiens voyage en errance. Où comment deux frères s’y déchirent (2h)
• vendredi à 17h30 : Le Chant traversé – où comment la princesse Anne traverse les mers, les limbes pour retrouver l’homme qui sauvera la reine mère (2h20)
• samedi et dimanche à 14h : Le Nid de cendres (6h avec entracte)
Et si le monde était coupé en deux, comme les deux moitiés d’une pomme ? D’un côté l’occident qui se consume dans le vacarme et la fureur meurtrière, de l’autre un royaume de contes, lieu du merveilleux. La réunion magique de ces deux hémisphères est-elle possible ? C’est à une grande fête théâtrale que nous sommes conviés : pas moins de seize acteurs au plateau, menés par Simon Falguières pour incarner cette folle épopée, cette œuvre fleuve mûrie pendant six ans. À travers les odyssées croisées de Gabriel et de la princesse Anne, mille histoires prennent vie : on traverse les limbes, on franchit la porte de l’horizon et mille océans encore. Les imaginaires s’enchâssent à l’infini, dignes des récits de Shéhérazade. Une fable contemporaine mêlée aux histoires millénaires des contes. La scène est un terrain de jeu inépuisable pour cette troupe de comédiens qui métamorphose à vue le plateau. Véritable tétralogie, Le Nid de cendres emportera les adeptes du grand voyage. Chaque pièce peut aussi se découvrir en soi. À chacune son registre, du mélodrame au drame familial en passant par la pièce symboliste ou la grande odyssée. Difficile de ne pas être gagné par le tourbillon de cette folle journée.